Conseil des ministres du 6 novembre 2002
Lors du Conseil des ministres du 6 novembre 2002, suite aux accidents de l'autoroute A10 du 5 novembre et de l'incendie du train Paris-Vienne le 6 novembre, le président de la République a souhaité s'associer personnellement et au nom du gouvernement à la souffrance de tous ceux qui ont été cruellement et brutalement frappés par ces drames.
Il a souhaité exprimer à leurs familles et à leurs proches la solidarité et la compassion profonde des autorités de la République, ainsi que l'émotion et la proximité chaleureuse de nos compatriotes.
Le Président a souhaité que le ministre de l'Equipement et des Transports Gilles de Robien et le secrétaire d'Etat aux Transports Dominique Bussereau rendent rapidement compte de leurs premières conclusions, afin de tirer au plus vite les enseignements de ces deux dramatiques événements.
Le chef de l'Etat a assuré que la détermination des pouvoirs publics à mettre en oeuvre une meilleure prévention des accidents de la circulation et un contrôle plus rigoureux du respect du code de la route était totale.
Il a souligné que le combat contre l'insécurité routière était un combat de tous les instants et une priorité gouvernementale. Il en a appellée à la responsabilité de chaque conducteur.
La maîtrise de la vitesse, le respect des distances de sécurité peuvent sauver des vies, a ajouté le chef de l'Etat. Il y faudra l'engagement et la vigilance de tous, aussi bien en matière de prévention que d'information et également de sanction.